Voyant l'immense armée qui s'étalait à ses pieds, Aragorn convoqua ses amis et lieutenants dans la SAlle du Trône. Ils regarda les troupes et vit que les n'étaient pas des Elfes, ils étaient donc moins précis que ses Archers mais leurs Arcs portaient moins loin. Aragorn installa ses Archers hors de Portée des Archers Ennemis mais de façon à ce qu'ils puissent quand même tirer. Il convoqua les Ents qui étaient présents. Il leur ordonna de maintenir la porte. Il savait très bien que les Trolls qu'il apercevait ne pourraient jaais la détruire étant doné qu'elle était de Mithril ([hrp] voir les Appendices du etour du Roi ! La Porte fut reconstruite en Mithril, elle est donc INDESTRUCTIBLE [/hrp]) Il savait donc que les troupers Ennemies ne pourraient entrer dans Minas Tirith avant de nombreuses Années... Ce qu'il craignait, c'était le siège, ils avaient des provisions mais peut-être pas assez pour repousser l'ennemi.... Il appela son meilleur coursier et lui en ces mots :
Aragorn : Va chercher Gandalf le Blanc qui demeure en Forêt de Fangorn, prends le meilleur cheval et va, ne t'arrête jamais. Tu lui diras que nous sommes assiégés et qu'il doit venir en toute urgence. Nous n'avons pas signé une Alliance pour rien !!! Si tu croises des Gens servant le Bien sur ton chemin, propose leur de venir également ! Tu sortiras par le passage secret se trouvant sous la Cité et qui passe sous les Montagnes, tu y seras rapidement mais n'oublie pas, ne t'arrête jamais !!!
Soldat : Bien messire, il sera fait selon vos Ordres !
Aragorn le regarda partir avec l'Emotion et le Sentiment qu'en cet Homme résidait la Gloire ou la Chute de Minas Tirith. Il décida donc de mettre ses guerriers dans la cour où ils se reposeront en attendant l'arrivée des Troupes de Gandalf. Les Ents étaient en place, soutenant la porte, quelques Soldats étaient aux Catapultes qui avaient de nombreuses fois sauvé Minas Tirith. Il laissa les Olifants se reposer pour l'Heure de la Bataille à la Venue de Gandalf. La porte tiendrait mais, sur les Champs de Pélénnor, son armée tiendrait-elle ?